Si la destinée est
incertaine,
C’est parce qu’elle
ne nous appartient pas.
Quand le chant
des oiseaux nous ravit
C’est aux prémices
de jours ensoleillés.
Comme les
oiseaux, nous ne chantons point
Lorsque s’annonce
une journée pluvieuse,
Nous préférons
chercher refuge,
Et nous mettre à
l’abri du déluge.
Lorsque le ciel devient
plus clément,
Nous renonçons au
silence
Pour faire
entendre nos chants joyeux.
La roue de la destinée
tourne,
Et ce
tournoiement lorsqu’il est endiablé,
Donne au plus joyeux
d’entre nous,
Des désirs d’amarrage.
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