S’être dit que l’on
s’aime
D’une petite
touche dédaigneuse,
Et regarder le
monde se tapir
Derrière vos
vies,
Oeils hostiles et
malsains,
Faisant de vos
vies
Des farandoles de
rires.
Lorsque le rire
change de bouche,
La vélocité n’est
plus de mise,
Pour appauvrir en
son sein
Ceux que l’on a
mis à terre,
Et que l’on piétine
vaillamment,
Jours après
jours.
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