Les plaines du
haut de mon âme,
Sont à mon âme ce
qu’est le repos de l’éternel
Ou rires et joie
se mêlent,
Pour donner à l’âme
meurtrie,
Son bien être quotidien.
Dieu le père fit
que,
Le haut mont fut
de vert vêtu,
Car de plaines
vivantes,
Il n’existe que
si l’herbe est verdoyante.
La douceur de l’éternel
repos,
Rend les
souffrances de ce monde supportable,
Car si nous fûmes à la merci du Marchand de jus,
Dont les ifs
mortels nous font parvenir,
Des relents de cimetière,
Nous fûmes aussi par la grâce du Dieu souverain,
Totalement libres
de refuser le jus nauséabond,
Puisque nous préférâmes
de loin,
Les douceurs de
la source divine.
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