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Douce est la vie de mon âme à l’eau,
Mélancolique et
subtile,
Elle nous lave de
l’affront subit.
De nous-même, il
restera peu de choses,
Quelques mémoires
au cœur de nos enfants,
Et le doux regard
de ceux-là.
Le rugissement de
l’âme à Dieu
Fit taire l’infidèle,
qui sans nul doute,
Se terre quelque
part, sachant bien,
Combien est grand
le courroux divin.